What to Show? What to Hide? -Quoi Montrer ? Quoi cacher?

When doing contemporary artwork or writing research, what does one share? What does one hold? `

For those developing weapons or pharmaceutical breakthroughs, secrecy is of the utmost importance, in order to accomplish military or financial gain*.

In the arts, many are those who keep and have kept secrets. According to Paul Valery, Degas was secretive about what was, at the time, state of the art techniques.**

Senegalese artist Ousmane Sow was said to have kept the new techniques used in the monumental sculptures shown at the Pont des Arts somewhat secret***.

In research in the humanities, ideas are often kept secret, for some time before publication. Even within one PhD class, laboratory, and school, it's not unusual for secrets to be firmly kept, at various levels. There is a fear of having one's ideas, research, professional contacts stolen; that someone else will appropriate and develop one's hard-earned work, without any acknowledgement or compensation of he or she who was at the source of the idea or origin or the research. Indeed all of the above, alas, does happen, at times, and in various ways.

Is holding the core gems of all of one's thoughts, revealing them with parcemony, sometimes the best choice in terms or research and exchange in the humanities? Or not?

In atmosphere of relative trust, there still may be some competition. If one applies for a job, residency, exhibition etc., one is not generally going to tell all of one's peer-friends who may be potential competitors.

There are, fortunately, some environments of trust, within many seminars, conferences, professional friendships, relationships, even schools ,presumably, in which this can be found. Some people choose to be transparent, to support others, to support the general evolution of experimentation, research and thought. There may be picking and choosing: What to tell/show? What to keep to oneself? I tend to favor the more open, transparent exchanges.

Sometimes there may be a need to hold ideas or works for a while as they ripen. Or one might need to wait for the right time to bring them forth confidently: Kairos (the supreme moment). A project that had been put on the back burner, in the back closet 10 years previously might eke itself back to life.

Little Stitching 6, 12 cm diameter, 1997, cardboard, cloth and thread. Made from recuperated cardboard circles and disgarded cloth recuperated from the Paris Sentier garment district in the evening. Made during a nomadic period.

Lorsque l'on effectue une recherch plastique ou universitaire, qu'est-ce que l'on partage ? Qu'est-ce que l'on garde pour soi ?

Quant à la développement des armes ou des pharmaceutiques, le secret est primordiale, à fin d'atteindre un gain militaire ou financière. Dans les arts, beaucoup sont ceux qui gardent de qui ont gardé des secrets. Selon Paul Valéry, Dégas était très sécret relatif à ce qui étaient, à l'époque, des techniques nouvelles.

Artiste Sénegalais, Ousmane Sow, n'a pas partagé, apparament, des nouvelles techniques plastiques, mises en oeuvre dans des sculptures monumentales exposées sur le Pont des Arts à Paris.

Dans les sciences sociales, les idées sont souvent gardées sécretes, pendant un bon moment, avant publication. Même à l'interieur d'un même seminaire, laboratoire ou école, il n'est pas rare que certains gardent jalousement leur sécrets, à des niveaux variés. Il y a la crainte de faire voler ses idées, ses recherches, ses contacts professionnels; que quelqu'un va approprier son travail, durement gagné, sans aucune reconnaissance, ni compensation de celui ou celle qui était la source de l'idée ou de la recherche. En effet cela arrive parfois.

Est-ce que garder pour soi le coeur de sa pensé, le dévoilant seulement avec parcimonie est, dans les sciences sociales, par moment, la meilleur choix ?

Dans un climat de confiance relatif, il y a peut être encore de la compétition. Si l'on pose une candidature pour une poste, une résidence, une exposition, l'on ne vas pas forcément en parler largément à tous ses amis et paires qui pourrait être des concourants potentiels.

Cependant, il y a des environements de ou regne la confiance, à l'interieur de bien de séminaires, de conférences, d'écoles, etc. Certaines personnes choississent d'être transparentes, à fin d'aider les autres et l'évolution général.

Il peut y avoir des choix : Quoi montrer ? Quoi cacher ? J'ai tendence à favoriser les échanges qui sont davantage ouvertes, transparentes.

Parfois il y a besoin de laisser le temps pour que les idées ou les oeuvres mureissent. Ou bien il faut attendre le moment oppurtun, pour les mettre en avant: Kairos (le moment suprème). Un projet qui était en veilleuse, rangé depuis dix ans, pourrait réemerger, se reprendre.

`