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Creative Work vs. Busywork - Travail créatif et les petites tâches

What are some ways to work when ideas are not coming together in a clear, focused way?

One possible way to work with this, would be to use that less focused perception as a creative approach: to express and work with it as a thing to express. This would be a sort of abandonning oneself to the situation at hand.

If, however, one has no wish to work that way, nor about that, what are some other options, at times of creative dip?

When faced with a firm and quickly approaching deadline, there is often no choice but to move forward and press through. With such tenacity things do tend to come*, though it might be a bit painful, and feel unnatural to get started. This is a holding, not entirely differnt from that referred to in the July 1 entry on Creation and Quotas.

At other times, the deadline is not so close, and it's possible to allow a lull. This can be a useful time to tend to detail work, which is kind of a holding, but also a kind of abandon. Short of having an or several assistants with multiple skills, most of us have outstanding tasks to look after, that require more diligence or tenacity, than decision-making skills and creative thought. For a scholarly writer, that could, among other things, be editing for typographical mistakes, or redundancies, or putting footnotes or bibliographies into form. For a painter, it might include tending to and organizing materials and material space. For a video-artist, this could involve organizing digital material and its spaces, formatting, uploading, making credits, doing backups, and so on. For any of them, there is likely some paper and digital filing, paperwork, and more, to deal with.

In these times of creative lull, the otherwise, possibly unappealing, task of sorting out small details, can be comforting, in that it keeps one connected to and moving forward with the greater endeavor. It might be like calling on the goddess of hearth and home, and sorting out and tending to the (even intellectual or digital) space: symbolically sweeping the floor, so to speak. There might conceivably be a ritualistic feeling to this tending to.

So with this movement to doing detail work, in the examples above, it's an abandoning of working on the larger, more daunting creative work, and tending to the holding of the supporting details, which underly the creative work. There is a risk of being so comforted in the detail work, that one gets sidetracked and rather than accomplishing the larger work at hand, one end ups only with the most beautifully organized digitial or actual space, but not the work one intended to do. For some this might be fulfilling enough in itself, in some cases; for others perhaps less so.

* reference to come

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Pail,(Seau), 70 x 70 cm, 1984, india ink, rag paper, wheatpaste.

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Le dernier entré de blog a traité la difficutlé de travailer lorsque les idées ne s'organisent pas de manière claire, comme l'on voudrait. Il est possible alors de travailler avec cette manque de focalization claire: de exprmier ceci par son approche au travail ou comme un sujet à exprimer. Cela serait une sorte d'abandon à la situation actuelle.

Cependant, si l'on ne souhaite pas travailler ainsi, ni à ce sujet, quelles sont d'autres possibilités, face à un creux ?

Lorsque confronté à une échéance firme et courte, souvent il n y a pas d'autre choix que d'avancer et persister. Avec une telle tenacité, généralement les choses viennent*, même si démarrer est parfois douleureux et peu sembler peu naturel. Cette aproche est une type de maintien, semblable à celui abordé dans l'entré du 1 julllet sur La Création et les Quotas.

Lorsque l'échéance n'est pas si près, il est possible d'acceuillir cette accalmie. Cela peut être un temps utile pour soigner des petites tâches, ce qui est une sorte de maintien, mais aussi une sorte d'abandon. Quitte à avoir plusieurs assistants, chacun avec des competences multiples, le plupart d'entre nous avons des taches encore à faire, taches qui exige davantage de diligence ou tenacité que des capacité de prise de décision ou de pensée créative.

Pour un universitaire, ces tâches pourrait être, entre autres, la révision d'un texte, à fin d'éliminer les erreurs typographiques ainsi que les redundances, ou bien la mise en forme des notes de bas de page et des bibliographies. Pour un peintre, cela pourrait comprendre le soin et l'organisation des materiaux et de l'espace physique. Pour un vidéaste cela pourrait s'agire de l'organisation des materiaux numériques et ses espaces; le formatage, le chargement d'un fichier, le sauvegarde, etc. Pour chacun, il y a, de plus, en toute probablité du classement numérique et papier, autre paperasse à gere et bien plus de petites taches de ce genre.

Au moment d'accalmie dans l'élan créatif, des tâches qui sont, peut être autrement, peu attractif, peuvent eventuellement porter confort, dans le faite qu'ils maintiennent un lien avec le plus grand entreprise en question, et continent de lui faire avancer. Effectuer ces petites taches d'entretien pourrait être consideré comme faire appel à Hestia, déesse du foyer, dans son action de ranger et s'occuper de l'espace (même si espace numèrique ou intellectuelle): comme balayage symbolique du sol. Cela pourrait cotenir un sentiment ritualistique.

Ainsi, dans ce mouvement d'un travail créatif, vers un travail de soins de détails moins créatif, tel décrit ci-dessus, l'on abandon l'oeuvre créative, qui est plus grand et plus intimidant, pour maintenir, ce projet par beaucoup de détails qui le soutiennent. Il y a le risque de tant trouver de confort et d'aissance dans le travail des détails, que l'on se détourne et plutôt que d'accomplir l'oeuvre en question, on finit avec une espace, numérique ou non-numérique, extrèmement bien organisée, mais ne termine pas l'oeuvre que l'on avait initialement entrepris à achever. Pour certains, ce dernier pourrait être suffisant en soi. Pour d'autres pas tant que ça.

* reference à venir


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